Saint-Yvi, son église Notre-Dame et Locmaria an Hent
SAINT YVI (I.S)
Eglise Notre-Dame, fin xvi°siècle.
ancienne trève d'Elliant.
Des vitraux du XVI° siècle, il ne reste que les éléments très intéressants de la baie de la chapelle sud.
Les autres vitraux sont arrivés en fin XIX°siècle aux alentours de 1885. Sur ceux qu'ils ont remplacé nous n'avons aucune indication.Une probable simple vitrerie du siècle précédent.
La baie du chevet,maitresse vitre, est composée de quatre lancettes, chacune partagée en quatre panneaux de vitraux, le tout surmonté d'un réseau composé de 6 soufflets et 2 écoinçons.
Au centre du réseau, leVoile de Véronique avec empreinte du visage du Christ. Autres soufflets, quatre anges nimbés portant des instruments de la Passion.
Dans les lancettes, sous quatre dais et sur quatre socles, un doublon, semble-t-il de Saint-Alor en Ergué -Armel.
la Crucifixion de Kuchelbecker et Jacquier
La scène de la Crucifixion elle-même, avec le Christ et les deux larrons est déportée sur la droite, le Christ en croix étant dans la lancette C.
Dans la première lancette de gauche, la A, Marie, debout, de trois quart droite, robe laque de garance et manteau bleu céruleum, la main gauche portée sur la poitrine, regarde son fils.
Elle est soutenue par saint Jean au visage de profil droit en manteau rouge et aux longs cheveux.
Le Christ est présenté crucifié sur une croix posée de trois quart gauche. Son visage légèrement penchée sur sa droite est vu de profil.
Longin avec sa lance de face Il est ici un soldat romain à cheval portant un manteau rouge et casque et perce le flanc du Christ.
Au pied de la croix., le genou gauche à terre, Marie Madeleine, le bas du corps, vêtu d’une robe jaune orange, de trois quart gauche, le reste du corps de profil gauche, pose sa joue droite sur sa main droite, l’autre bras reposant sur le genoux droit.
Derrière, dans la lancette D, sous le mauvais larron, vu quasiment de dos, deux soldats en armure entourent un homme, en robe courte bleu céruleum, tourné vers le Christ et joignant
ses mains tendus.
En B, le bon larron est mort, sa tête tombent en avant.
Plus bas une sainte femme, de profil droit, assise sur ses talons, le bras gauche appuyé sur un rocher, est effondrée.
Par dessus, un ciel plombé. Jérusalem, temple blanc entouré de murailles se pointe sur la gauche Le sol de rochers plats est, comme les acteurs de la scène, éclairé d’une lumière irréelle.
Dans cartouche bleue sur le socle : Donateurs: Du Laurent de La Barre. Guillaume Pérès. Tse Nédélec.
s ou sarv; Le premier pourrrait ê
tre armoiries, ou dans le sens de rendre les armes, arrêter, s'avouer vaincu. On pourrait envisager qu'ils accompagnaient une Passion et seraient un descriptif des instruments
Chapelle de Locmaria-an-Hent
elle aussi ancienne église trèviale d'Elliant XVII et XVIII° siècle
Baie du Chevet
3 lancettes trilobées de 3 panneaux chacune et réseau composé de 3 mouchettes. Vitrerie montage bâtons rompus.
Baie, la première à gauche, oculus en roue composé de 4 mouchettes avec un écoinçon central, montage de vitraux en bâtons rompus.
Les anciens vitraux avaient les armes des seigneurs du Toulgoët et du Bourgneuf . Restauration en 1813.
H.P.Le Maître.EN 2007PAR L'ATELIER jean-pierre le bihan, SUITE A VANDALISMES;
Eglise Notre-Dame, fin xvi°siècle.
ancienne trève d'Elliant.
Des vitraux du XVI° siècle, il ne reste que les éléments très intéressants de la baie de la chapelle sud.
Les autres vitraux sont arrivés en fin XIX°siècle aux alentours de 1885. Sur ceux qu'ils ont remplacé nous n'avons aucune indication.Une probable simple vitrerie du siècle précédent.

La baie du chevet,maitresse vitre, est composée de quatre lancettes, chacune partagée en quatre panneaux de vitraux, le tout surmonté d'un réseau composé de 6 soufflets et 2 écoinçons.
Au centre du réseau, leVoile de Véronique avec empreinte du visage du Christ. Autres soufflets, quatre anges nimbés portant des instruments de la Passion.
Dans les lancettes, sous quatre dais et sur quatre socles, un doublon, semble-t-il de Saint-Alor en Ergué -Armel.
la Crucifixion de Kuchelbecker et Jacquier
La scène de la Crucifixion elle-même, avec le Christ et les deux larrons est déportée sur la droite, le Christ en croix étant dans la lancette C.
Dans la première lancette de gauche, la A, Marie, debout, de trois quart droite, robe laque de garance et manteau bleu céruleum, la main gauche portée sur la poitrine, regarde son fils.
Elle est soutenue par saint Jean au visage de profil droit en manteau rouge et aux longs cheveux.
Le Christ est présenté crucifié sur une croix posée de trois quart gauche. Son visage légèrement penchée sur sa droite est vu de profil.
Longin avec sa lance de face Il est ici un soldat romain à cheval portant un manteau rouge et casque et perce le flanc du Christ.
Au pied de la croix., le genou gauche à terre, Marie Madeleine, le bas du corps, vêtu d’une robe jaune orange, de trois quart gauche, le reste du corps de profil gauche, pose sa joue droite sur sa main droite, l’autre bras reposant sur le genoux droit.
Derrière, dans la lancette D, sous le mauvais larron, vu quasiment de dos, deux soldats en armure entourent un homme, en robe courte bleu céruleum, tourné vers le Christ et joignant

En B, le bon larron est mort, sa tête tombent en avant.
Plus bas une sainte femme, de profil droit, assise sur ses talons, le bras gauche appuyé sur un rocher, est effondrée.
Par dessus, un ciel plombé. Jérusalem, temple blanc entouré de murailles se pointe sur la gauche Le sol de rochers plats est, comme les acteurs de la scène, éclairé d’une lumière irréelle.
Dans cartouche bleue sur le socle : Donateurs: Du Laurent de La Barre. Guillaume Pérès. Tse Nédélec.

- baie n° 4, du bras sud du transept,
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Chapelle de Locmaria-an-Hent
elle aussi ancienne église trèviale d'Elliant XVII et XVIII° siècle
Baie du Chevet
3 lancettes trilobées de 3 panneaux chacune et réseau composé de 3 mouchettes. Vitrerie montage bâtons rompus.
Baie, la première à gauche, oculus en roue composé de 4 mouchettes avec un écoinçon central, montage de vitraux en bâtons rompus.
Les anciens vitraux avaient les armes des seigneurs du Toulgoët et du Bourgneuf . Restauration en 1813.
H.P.Le Maître.EN 2007PAR L'ATELIER jean-pierre le bihan, SUITE A VANDALISMES;

